Coulrophobes de tout bord, je vous dirais bien de passer votre tour, mais il ne faut pas reculer devant une phobie. Prenez votre courage à deux mains et plongez dans les pages de Ça, et vous verrez que le clown n’est pas le plus effrayant dans ce grand classique de Stephen King. À (re)découvrir ! Bon, par contre ne comptez pas sur moi pour regarder les adaptations (faut pas abuser non plus !)
Horreur
Au fil des pages, le récit a créé un lien avec moi. Un récit particulièrement percutant pour une Lorraine. Me basant sur mon imagerie de Mosellane, je me suis projetée dans cette atmosphère brumeuse où les échos du passé résonnent aux oreilles des anciens. J’ai frissonné et eu quelques insomnies, plaçant ce texte au niveau de Stephen King sur une échelle horrifique allant de « bisounours » à Stephen King. Un livre captivant et addictif !
Le genre horrifique (Horror Fiction) imprègne la société. Considéré en France comme un sous-genre, il n’en est pas moins riche. S’ancrant dans le registre de la peur ; le roman d’horreur cherche à susciter angoisse, effroi, frisson, inquiétude ou malaise chez le lecteur.
Avec La Maison des Oubliés, nous entrons dans une demeure hantée qui garde bien ses secrets, son mystère. Manipulant les rouages classiques des œuvres horrifiques, Peter James nous embarque dans un roman d’horreur qui ravira les nouveaux lecteurs du genre !